jean-meyer

Ces « Frères Dalton de la dette », flanqués du célèbre Rantanplan, auront présidé à l’un des plus gros hold-ups de l’histoire de France : 2000 milliards d’euros de dette publique en 40 ans (plus de 31 000 euros par habitant !), avec des budgets déficitaires chaque année depuis 1974.

En 2015, la dette publique française devrait atteindre le seuil symbolique de 100% du Produit intérieur brut (PIB)…

Comme nous en avertissons les Français et leurs dirigeants depuis un quart de siècle, cela n’est pas sans conséquence sur l’avenir, mais aussi sur le présent-même de la France : chaque année, l’État, donc nous contribuables, consacre son premier poste budgétaire au paiement des intérêts de la dette… Ce paiement, appelé « service » ou « charge » de la dette, engloutit la recette de l’impôt sur le revenu. Les impôts que vous venez de payer servent donc à payer les intérêts (et non la dette elle-même) résultant de mauvaises politiques accumulées depuis 40 ans.

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Et pendant que les « Frères Dalton de la dette » dévalisent la France à son sommet, les élus locaux ne se comportent pas forcément beaucoup mieux.

En fait, c’est à une véritable épidémie de députés-clones que l’on est en train d’assister à l’Assemblée nationale, plus précisément dans le groupe socialiste au Palais Bourbon.

Contactés par nos membres, les députés PS leur répondent à tous la même lettre, au mot près (pour vous en assurer, cliquez ici).

Nous avons toutes les raisons de penser que les 13 cas recensés de députés-clones ne sont pas isolés. Aussi, si votre député est socialiste et qu’il vous a envoyé un courrier rédigé exactement comme ceci, n’hésitez pas à nous contacter afin de nous le signaler.

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Pour finir, nous aimerions attirer votre attention sur deux passages média effectués par Contribuables Associés récemment :

• À Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), des membres de notre association, réunis dans le collectif Cybercontribuables, sont récemment passés dans l'émission « C dans l'air » sur France 5.
• Par ailleurs, notre community manager Samuel Lafont a été interviewé par le quotidien britannique The Guardian au sujet du « budget participatif » de la mairie de Paris. Cette interview faisait suite à notre campagne #RendezNousNotreArgent sur notre site et les réseaux sociaux.